Votre conjoint veut divorcer ? Votre chef pense à vous virer ? Vos enfants ne veulent pas vous écouter ? Les autres sont tous des c… ?

Et pourtant vous avez à cœur de vous améliorer, d’apprendre, de découvrir, de partager, de changer votre environnement, de transformer positivement vos relations avec votre entourage. Bravo ! Vous êtes votre meilleur ami !

Mais parfois, même avec de belles intentions, si vous ne regardez pas en face vos problèmes, ce que vous voulez vraiment changer, vous risquez de mettre en place des solutions qui vont aggraver vos problèmes. Et alors vous devenez votre propre ennemi !

Regardons tout cela en détail maintenant.

Face à nos problèmes quotidiens, nous avons tous des automatismes de solutions. Certaines sont excellentes tandis que d’autres renforcent le problème. Nous allons donc nous pencher sur ces « mauvaises » solutions.

Attention ! Ne culpabilisez pas ! Cela nous arrive à tous … mais quand vous aurez lu l’article jusqu’au bout, cela vous arrivera bien moins souvent car vous prendrez alors une décision importante !

Mettre les bœufs sur la charrue

Vous vous lancez dans un nouveau projet très motivant alors que vous avez des problèmes de gestion du temps en espérant que cette nouvelle motivation sera la solution pour démarrer enfin le reste de vos tâches.

Vous vous sentirez peut-être mieux grâce à la magie de la nouveauté mais à long terme vous aggraverez votre problème de gestion de temps puisque vous aurez encore plus de choses à faire.

Même pas peur !

Si vous avez tendance à vous faire du souci pour votre avenir, à être anxieux, vous pouvez choisir de fuir les situations redoutées en espérant que si vous évitez d’affronter vos peurs, vous vous sentirez mieux.

En réalité vous perdez alors confiance en vous, voire vous vous culpabilisez en utilisant cette solution.

Replonger la tête la première

Vous pouvez aussi refouler des émotions désagréables en plongeant avec excès dans votre travail (ou dans une autre addiction, alcool, drogue, …).  Vous créez ainsi un nouveau problème qui peut dégénérer en burn-out (en dépression, en dépendance, …).

Il faut sauver la face

Une stratégie très répandue est de cacher un élément de vous-même dont vous avez honte. Le fait de pas dévoiler une quelconque vulnérabilité peut générer l’angoisse qu’un jour vos secrets ne soient découverts. En fait tout ce à quoi vous résistez, persiste.

Dissimuler des erreurs de votre passé, des imperfections physiques, des expériences difficiles, –tout ce dont vous avez honte-, vous empêche de voir que d’autres personnes ont vécu des expériences similaires. Cela n’entachera pas votre image de partager qui vous êtes vraiment avec ce que vous croyez être des défauts indicibles (Important : quand vous êtes prêt à vous livrer, prenez soin de choisir un contexte bienveillant et avec des personnes de confiance).

Il sera une fois

Vous pouvez user de l’art de remettre au lendemain (la procrastination). Car ce n’est pas « encore le bon moment », « je n’ai pas le bon état d’esprit », « j’attends d’être motivé » et alors vous attendez « un jour, peut-être ». En général ce jour n’arrive jamais (à moins d’être contraint et forcé) car la solution de se sentir mieux au moment de reporter apparaît comme plus bénéfique que faire l’effort de s’atteler à la tâche ou à la résolution de son problème. Et la répétition de ce comportement devient le problème majeur.

I’m a poor lonesome cowboy

Vouloir à tout prix se débrouiller seul. Dans ce cas nous allons retrouver les cas précédents, refouler ses émotions, cacher ses problèmes et remettre à plus tard.

C’est le meilleur moyen d’entrer en déprime puis en dépression. Et alors pour réussir vraiment à échouer, vous pouvez même décider de ne plus sortir pour éviter la honte d’être dépressif devant vos amis. Vous pouvez aussi décider de ne plus parler à votre conjoint ou à vos enfants pour vous éviter d’être irritable, puis même en culpabiliser parce que de nouveaux problèmes vont surgir. C’est un cercle vicieux. Et c’est super épanouissant, non ?

La tour de contrôle infernale

Vouloir tout contrôler. Quand des problèmes surgissent, un réflexe est de chercher à maîtriser des éléments qui ne dépendent pas de soi. Ce qui génère de l’anxiété et/ou de la colère. Ainsi plus vous avez le sentiment de perdre le contrôle, plus vous refusez de regarder vos pensées et vos émotions, plus vous essayez de contrôler et moins vous êtes en position de gérer ce qui se passe. Du coup plus vous vous mettez la pression, plus vous êtes inquiet et perturbé quant à votre capacité à gérer le problème.

Et s’il y avait d’autres stratégies … qui marchent vraiment ?

Car ultimement que voulez-vous ?

  • Atteindre vos objectifs
  • Avoir confiance en vous
  • Être serein au lieu d’être stressé
  • Réussir vos projets personnels
  • Trouver votre voie professionnelle
  • Vivre une vie de couple épanouie
  • Une famille où règne l’harmonie

Qu’est-ce qui est important pour vous ?

Quelle solution efficace comptez-vous mettre en place (au lieu des mauvaises solutions citées dans cet article) ?

Commentez ci-dessous.

« Vous avez dit flow ? »

L’expérience optimale … Qu’est-ce donc ?

Un hongrois, chercheur en psychologie positive, Mihály Csíkszentmihályi (oui, il a un nom pas facile à écrire, ni à prononcer), a voulu connaitre les caractéristiques de ce que des personnes décrivent comme leurs meilleurs moments de vie.

Il en a interrogé plein dans tous les domaines (art, sport, spiritualité, jeu, business, enseignement, etc.) et il est arrivé au concept de l’expérience optimale. Il l’a appelé « flow », c’est-à-dire le flux : tout s’écoule dans un équilibre parfait entre ses propres compétences et ce que l’on fait.

Complètement immergé dans ce qu’on réalise avec une concentration maximale, l’activité devient extrêmement plaisante et la productivité est optimale. Il en résulte un état mental spécifique d’engagement, de bien-être et de réussite. Ce serait même l’état le plus propice au bonheur !

Comment ça se définit et comment l’atteindre, c’est ce que nous allons voir.

Comment se définit le flow ?

L’expérience du flow regroupe 8 caractéristiques que Csíkszentmihályi a décrites ainsi :

  1. Objectifs très clairs: dans le flow, on sait parfaitement ce qu’on doit faire pour atteindre le but qu’on s’est donné : adéquation parfaite entre l’objectif à atteindre et les compétences nécessaires. Non seulement on connait l’objectif global, mais aussi chacune des étapes pour y arriver.
  2. Retour d’informations direct et immédiat. A chaque instant, on sait parfaitement si ce qu’on fait nous rapproche ou nous éloigne de l’objectif final. Un réajustement en « temps réel » permet de rester concentré sur l’activité. On sait toujours où on en est et où on va.
  3. Équilibre entre difficulté de l’activité / compétences nécessaires. Une activité trop difficile décourage (stress) et trop facile ne motive pas (ennui). Dans le flow, le défi est à la hauteur de ce que l’on sait faire.
  4. Hyper-concentration: dès que les 3 premières conditions sont réunies, on atteint un très haut degré de concentration. Le champ de conscience se limite à ce que l’on fait, d’où un sentiment d’harmonie avec soi-même permettant d’être beaucoup plus efficace. Complètement dans le « flux » de l’action, on ne fait qu’un avec ses pensées.
  5. Activité = source de satisfaction: en état de flow, notre attention est telle qu’on ne pense pas à autre chose qu’à ce qu’on fait et rien d’autre ne nous distrait ou nous encombre. L’activité n’est nullement perçue comme une corvée et de plus, tout ce qui peut être problèmes du quotidien s’efface. Les factures, disputes, soucis divers, frustrations et préoccupations s’effacent temporairement de notre conscience. C’est une véritable évasion, constructive de surcroit !
  6. Sensation de contrôle de soi et de l’environnement: le flow donne une sensation de sécurité très agréable car on a l’impression d’être capable de contrôler notre vie, nos actions, notre expérience.
  7. Perte du sentiment de la conscience de soi: on ne se soucie plus de ce que les autres pensent, ce qui peut donner un sentiment d’insécurité pénible. Au contraire, on a l’impression d’une parfaite fluidité et d’une totale harmonie entre soi et ce que l’on accomplit ; il n’y a pas de distance, on fait partie d’un tout.
  8. Distorsion de la perception du temps: notre perception du temps est complètement modifiée comme si, au lieu d’être une contrainte, il s’adaptait à la manière dont on ressent les choses. Totalement concentré sur le présent, on ne voit pas le temps passer. Par exemple, on croit avoir travaillé une vingtaine de minutes et on s’aperçoit alors que 3 heures se sont déjà écoulées. Le temps suspend son vol !

 

Comment atteindre l’état de flow ?

Le champ d’application a débordé celui de la psychologie et s’est intéressé au milieu du sport, au coaching en développement personnel (développer sa confiance en soi ou sa santé émotionnelle par exemple), au coaching dans le monde de l’entreprise (améliorer les résultats sans stress inutile), au domaine de la musique (l’improvisation par exemple) ou de la spiritualité (bouddhisme zen, lâcher-prise,…).

L’état de flow permet non seulement de mieux réaliser quelque chose, mais de plus nous fait nous sentir mieux. Alors, comment y entrer ?

Pour toute activité, les 3 premières caractéristiques sont les plus importantes : objectifs clairs, mise en place de feedbacks directs et immédiats et compétences proportionnelles à la difficulté de la tâche.

Ensuite, il faut cibler cet état sur un court terme, ce qui n’empêche pas de pouvoir le ressentir au quotidien ! Songez par exemple à un sportif, un artiste, un écrivain, un chirurgien. Vous pouvez y ajouter tous les métiers de l’artisanat. Et ce que vous faites vous-même.

Toute activité peut donc, dans l’absolu, amener à un état de flow à condition que l’on s’y engage activement : chanter, écrire, peindre, bricoler, etc. En revanche, une activité passive comme regarder la télévision ne convient évidemment pas ! Un minium d’effort est à produire.

Ce qui est important, ce n’est pas l’activité elle-même, mais vous, votre état d’esprit, votre manière de l’appréhender et surtout le challenge que vous placez derrière. Il faut que l’action à réaliser ait un enjeu important et vous demande de vous transcender.

Par conséquent, interrogez-vous :

  • Dans ce que j’ai à faire, qu’est-ce qui peut représenter un défi, un challenge ?
  • Est-ce que c’est clairement défini ?
  • Est-ce que j’ai les compétences adéquates ?
  • Concrètement, à quoi je saurais que j’ai raison ou que je me trompe et pourrai-je le savoir (très) rapidement ?
  • En quoi cette activité peut-elle être pour moi une source de dépassement et/ou de grande satisfaction ?

Parallèlement, identifiez bien les obstacles au flow pour pouvoir agir dessus ou pour choisir une autre activité qui vous convienne : 

  • Objectif non identifié ou non réalisable, 
  • Manque ou absence de feed-back,
  • Environnement inadéquat ou agressif, 
  • Activité qui n’est pas pas en adéquation avec vos valeurs profondes et/ou vos compétences.

C’est clair pour vous ? Alors, allez-y et bon flow !

N’oubliez pas. Le coaching est une aide très efficace pour comprendre comment trouver le flow de façon régulière et permanente.

Bonus : Csíkszentmihályi a publié en 1997 un graphique qui nous montre les relations qui existent entre le challenge perçu, notre niveau de compétence et les conséquences sur notre état émotionnel.Enjeux & Compétences : Le Flow

 [callout title= »COACHING » link= »http://www.hexalto.com/programmes-de-coaching-performance-excellence-serenite/ » target= »_SELF » animation= »fade-in » icon= »hb-moon-people » type= »yes »]Découvrez nos Programmes de Coaching pour Optimiser votre Flow …[/callout]

 

À première vue la capacité à bien contrôler sa vie et la pensée positive n’ont pas grand rapport. Pourtant, lorsque ceux qui souffrent d’un manque récurrent de concentration ou d’attention se sentent littéralement dépassés, ou incapables de venir à bout d’une tâche, ou encore se voient toujours repousser à plus tard le démarrage d’une tâche (procrastination), c’est bel et bien un schéma de pensées négatives qui se met en place. Ils ont l’impression de ne pas pouvoir ou savoir contrôler leur vie. Vous connaissez sûrement des personnes qui vivent cela (ou à l’extrême opposé des personnes qui sont toujours hyperactives et qui veulent tout contrôler, voir dans ce cas la fin de l’article).

Autant le dire tout de suite, ce regard négatif sur soi ne fait qu’accroître les difficultés auxquelles celui qui n’arrive pas à se concentrer est confronté. Au pire le manque de contrôle ou de concentration peut devenir un véritable Trouble de Déficit de l’Attention (TDA) qui va miner sa performance et causer une perte de confiance en soi. Bref c’est un cercle vicieux.

Le manque de contrôle et la pensée positive pour y remédier

Si vous avez des difficultés à vous concentrer, la pratique de la pensée positive vous permettra de mieux vous rendre compte de vos qualités et de vos compétences, ce qui augmentera votre motivation. Dans ce nouveau cercle vertueux, la motivation vous permet de passer plus de temps à ‘faire’ les choses et moins de temps à vous ‘sentir pas à la hauteur’. Suivez ces 10 conseils pratiques pour intégrer un schéma de pensées positives et une bonne énergie aussi souvent que possible.

1. Prenez soin de vous

Bien manger, faire du sport et dormir suffisamment vous aidera à positiver car vous vous sentirez physiquement bien.

2. Regardez ce qui ‘marche’

Le stress et les défis sont beaucoup moins durs à supporter quand on a l’occasion de se rappeler de ce qui va bien. Prenez un petit moment chaque jour (plutôt en soirée) pour faire le point sur ce qui fonctionne dans votre vie. Progrès en sport, réunion efficace au bureau, rapports amoureux ou familiaux, amitiés…Cherchez bien vous trouverez beaucoup de choses.

3. Arrêtez de supposer, demandez carrément !

La peur de ne pas être apprécié ou accepté nous pousse parfois à imaginer ce que les autres pensent de nous, et généralement à être complètement à côté de la plaque. Si vous avez l’impression que la mauvaise humeur d’un de vos proches est due à votre comportement, ou si vous êtes persuadé que vos collègues critiquent votre travail dans votre dos, demandez leur carrément si quelque chose ne va pas. Ne perdez pas votre temps à vous demander ce que vous avez fait de mal.

4. Évitez d’être catégorique

Ça arrive à tout le monde de dire à son/sa partenaire « Tu es TOUJOURS en retard » ou de se plaindre à un ami, « Tu ne me rappelles JAMAIS ». Pourtant, utiliser ce type de généralisation, c’est à dire des termes extrêmes comme ‘jamais’, ou ‘toujours’ dramatise des situations qui ne devraient pas l’être, et programme votre cerveau à croire que certaines personnes sont incapables de faire ce qu’on attend d’elles.

5. Prenez du recul sur vos pensées négatives

Lorsque vous avez une pensée négative, prenez du recul, considérez-la avec détachement, et cessez de suivre son cours. Entraînez-vous à lâcher-prise. Si vous arrivez à faire cela, vous verrez que ces pensées perdront leur pouvoir sur vous.

6. Éliminez les pensées réflexes

Dans son livre, « Changez votre cerveau, changez votre vie », le docteur Daniel Amen évoque ces pensées négatives automatiques qui nous polluent la vie. Ce sont des pensées réflexes qui surviennent dans des situations quotidiennes. Ex : « ces gens qui rient, ils doivent se moquer de moi », ou encore « Mon patron veut me voir ? Je vais prendre un savon ». Lorsque vous avez ce genre de pensée réflexe, prenez conscience qu’elle ne sont que cela — des réflexes — et passez outre !

7. Soyez tactile

Tout le monde connaît les bénéfices psychologiques d’une étreinte amicale (le ‘hug’ américain). Avoir des contacts physiques positifs, amicaux ou amoureux, remonte instantanément le moral. Même le fait de caresser un chat ou un chien est antidépresseur. Sans oublier les effets collatéraux positifs : lors d’une étude sur le sujet, une serveuse devait toucher le bras de certains de ses clients en leur donnant l’addition. Résultat, elle a reçu plus de pourboire de ceux qu’elle avait touchés que des autres.

8. Ayez une vie sociale

En améliorant votre vie sociale vous souffrirez moins de solitude. Tâchez de vous entourer de personnes saines et heureuses, et leur énergie positive rayonnera sur vous !

9. Aidez un ami ou devenez bénévole

Le fait d’aider les autres nous fait nous sentir:mieux. Vous pouvez donner de l’argent, c’est très bien, mais il est prouvé que le bénévolat augmente l’épanouissement personnel et l’estime de soi. Bref, plus on donne, plus on reçoit !

10. Interrompez systématiquement le ressassement

Ressasser c’est se concentrer intensément sur du négatif. Ça n’a aucun intérêt, c’est même contre productif : on ne trouve pas de solution en ressassant, on se complaît juste dans un problème, voire on trouve de nouveaux prétextes pour se plaindre. Lorsque vous commencez à ruminer des pensées négatives, il faut absolument interrompre ce schéma en modifiant votre environnement physique : sortez prendre l’air, téléphonez à un proche, mettez de la musique, dansez (pourquoi pas)…

Trop contrôler, c’est risquer l’épuisement professionnel

A l’opposé du manque de concentration, il y a l’excès, le perfectionnisme, la volonté d’en faire toujours plus. Mais comme on dit, le mieux est l’ennemi du bien. En voulant tout contrôler on a l’impression que tout se passera bien. Là encore, la pensée positive a toute son utilité, elle sert notamment dans ce cas à éviter le burn-out (l’épuisement professionnel).

Certes, maîtriser les tâches à effectuer c’est la base de la productivité. Pourtant avoir de bonnes relations sociales et un psychisme équilibré c’est la productivité à visage humain. Bien sûr, il y en a qui travaillent bien sous la pression permanente, mais ils sont rares et ne tiennent pas forcément sur la durée. Pour la plupart des gens, le stress supplémentaire n’aide pas particulièrement, bien au contraire. Parfois il faut plus de courage pour admettre qu’on est en train de devenir workaholics, que pour continuer à penser qu’on pourrait toujours faire mieux. Reprendre le contrôle c’est retrouver le bon équilibre.

Oser prendre du recul pour changer

Avoir le courage de prendre du recul, savoir prendre conscience de ce qui ne marche pas, ou pas aussi bien qu’on le souhaiterait, est une étape cruciale pour reprendre le contrôle de sa vie professionnelle et personnelle. Vient ensuite l’envie d’être accompagné, conseillé ou coaché par un professionnel pour apprendre à changer son mode de pensée et devenir le véritable scénariste, producteur et acteur de sa vie.

Ainsi reprendre le contrôle c’est, au lieu de subir les circonstances ou les autres, redevenir pleinement responsable de ses choix et libre de changer sa vie si nécessaire.

 Pour clore, j’ai 2 questions de coach pour vous :

  • Quels sont les domaines de votre vie dans lesquels vous avez l’impression de ne pas avoir le contrôle ?

  • Que manque-t-il pour transformer cette situation ?

Répondez ci-dessous, commentez l’article ou utilisez ici le formulaire de contact